A côté du feu de la rue Anatole France ce soir
A force de se taper le carton et de boire de la villageoise
Accompagné de sa bourgeoise
Père en se tirant la braguette s’est coincé le nœud dans le tiroir
Ces boules de noël en polystyrène excommuniées sont devenues écarlates
A force de passer du vert à l’orange au rouge qui tâche
D’être dévisagé par des routards aveugles sans panaches
Ils planquent derrière leur comptoir ambulant faces dégoulinantes
L’odeur de la vinasse a remplacé le fumoir
A force de taxer et de réglementer notre liberté
Le pouvoir préfère les voir crever en train de boire que de fumer
A moindre frais ils se réchauffent la tuyauterie du désespoir
Du matin au soir et du soir au matin
Mère et Père logent à la bonne enseigne
Pas loin de l’haut parleur du secours cathodique
Avec le son grave et toujours le même refrain
Comme chaque soir en coeur
Pin-pon pain pin-pon pain
Nous n’avons plus de pain mais du vin
Bonne sœur conscience dit d’allez voir rhésus négatif distribuer ses hosties au resto du sacré coeur
Foutaise
Alors qu’ils picolent en gerbant la marseillaise
Punaise
Père c’est encore coincé les mortaises
Le froc DSK trouvé dans la poubelle en face du ministère des finances
Cette fermeture éclair en crise sans ouverture lui cause bien du souci
A notre cent millièmes amis
Ici c’est la vie ou la bourse comme constance
Ils n’ont pas choisi
Entre l’opéra de la bastille
Et les petits rats qui dansent sous leur guenille
« Vous êtes ICI » pour le restant de votre vie
L’humour tragique actuel est un bouillon de culture
Nos élus perdent leur temps à se faire des coups bas
Engrangent fonctions et mandats
Et le monde miteux du football s’excite sur une main volée au bord de la rupture
Alors ne serait-il pas plus malin de tendre tous nos propres mains
Vers cette surface nauséabonde pour éviter de voir mourir nos amis en cage
Comme s’ils avaient la rage
Vers Père et Mère pour vraiment gagner tous ensemble un jour … enfin
A force de se taper le carton et de boire de la villageoise
Accompagné de sa bourgeoise
Père en se tirant la braguette s’est coincé le nœud dans le tiroir
Ces boules de noël en polystyrène excommuniées sont devenues écarlates
A force de passer du vert à l’orange au rouge qui tâche
D’être dévisagé par des routards aveugles sans panaches
Ils planquent derrière leur comptoir ambulant faces dégoulinantes
L’odeur de la vinasse a remplacé le fumoir
A force de taxer et de réglementer notre liberté
Le pouvoir préfère les voir crever en train de boire que de fumer
A moindre frais ils se réchauffent la tuyauterie du désespoir
Du matin au soir et du soir au matin
Mère et Père logent à la bonne enseigne
Pas loin de l’haut parleur du secours cathodique
Avec le son grave et toujours le même refrain
Comme chaque soir en coeur
Pin-pon pain pin-pon pain
Nous n’avons plus de pain mais du vin
Bonne sœur conscience dit d’allez voir rhésus négatif distribuer ses hosties au resto du sacré coeur
Foutaise
Alors qu’ils picolent en gerbant la marseillaise
Punaise
Père c’est encore coincé les mortaises
Le froc DSK trouvé dans la poubelle en face du ministère des finances
Cette fermeture éclair en crise sans ouverture lui cause bien du souci
A notre cent millièmes amis
Ici c’est la vie ou la bourse comme constance
Ils n’ont pas choisi
Entre l’opéra de la bastille
Et les petits rats qui dansent sous leur guenille
« Vous êtes ICI » pour le restant de votre vie
L’humour tragique actuel est un bouillon de culture
Nos élus perdent leur temps à se faire des coups bas
Engrangent fonctions et mandats
Et le monde miteux du football s’excite sur une main volée au bord de la rupture
Alors ne serait-il pas plus malin de tendre tous nos propres mains
Vers cette surface nauséabonde pour éviter de voir mourir nos amis en cage
Comme s’ils avaient la rage
Vers Père et Mère pour vraiment gagner tous ensemble un jour … enfin
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